A toi inconnue.
A cette inconnue,
Qu’un soir j’ai vu,
Que je n’ai pas connu,
Parce qu’en moi, elle n’a pas cru.
Ce soir là, il sonnait minuit ,
Quand je fis un tour dehors,
Espérant chasser l’ennui,
Quand je tomba sur un trésor.
Qu’avait-elle lu,
En mes réactions ?
Qu’avait-elle su,
De mes intentions ?
Je ne le saurais guère,
Parce que cette chance,
Je ne l’ai pas eu, mais je gère,
Ma vie en espérant une danse.
Un autre soir où,
Je la verrai encore peut être,
Et j’enroulerai mes bras à son cou,
En espérant voir un sentiment réciproque naître.
Et ainsi pouvoir chaque jour la voir, la toucher,
Juste lui parler, la rencontrer.
Avec elle, passer un tout petit instant,
Avant que ne s’effrite le temps.
Souvent, brillent mes yeux,
De mille feux, et je ris,
Dans mon sommeil complètement heureux.
Le devrais-je seulement à mon esprit ?
Je me rends compte qu’elle s’amuse !
À hanter, et mes jours, et mes longues nuits,
Ô, imagination, invoque l’image de ma Muse !
Mais pourquoi un tel circuit ?
J’aimerais seulement ne pas me réveiller,
Regarder éternellement avec insistance son visage,
Que mes yeux ne s’en décrochent plus, restent éveillés.
Pour rendre longuement passionnant un tel mirage.
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